Bureau d’olivia
A la télé
« Demain devrait être un jour décisif pour l'administration Grant, alors que le président du dixième circuit Patrick Keating Nominés à la Cour Suprême Annonce imminente est considéré comme favori du Président pour être nommé juge de la Cour Suprême. La nomination de Keating serait controversée, étant donné que les membres conservateurs du parti du Président ont fait part d'inquiétude quant à ses décisions passées concernant les lois sur la vie privée. »
-Vous avez fait du bon boulot avec le Président. L'avoir fait élire.
Olivia : Le peuple américain l'a élu.
- Chérie, j'ai suivi l'élection. C'était un diamant brut avant que vous ne travailliez pour lui. C'était vous, l'opportunité photo avec la petite fille malade où il jouait du piano ?
Olivia : De la guitare.
- Vous l'avez formé. Pourquoi avoir quitté la Maison Blanche ? Personne n'abandonne un travail dans l'aile ouest sans bonne raison.
Harrison : Liv. On est prêts. Ligne 2.
Olivia : Stephen, tu y es ?
Stephen : On y est.
Quinn : Désolée, me voilà. Où sont les autres ?
Harrison : Au travail. On a un client.
Quinn : Que se passe-t-il ?
Harrison : On aide des gens.
Chez la cliente
Abby : Je suis ouverte d'esprit. Je ne juge pas. Je trouve juste que tu es un porc. Tu es fiancé. Tu as une fiancée.
Stephen : Tu as bientôt fini ?
Abby : J'ai bientôt fini. Les gens ont des valeurs, Stephen. Un sens moral. Je suis déçue, voilà tout. On croit connaître quelqu'un.
Stephen : Tu me feras la leçon plus tard. Mais là, au travail. Ils sont bientôt sortis.
- Ils ont les photos ?
Olivia : Stephen, les albums photo.
Stephen : Tu as les albums photo ?
Abby : Non, pas encore.
-Trouvez les albums photo. C'est important.
Stephen : Dépêchez-vous. On a de la compagnie.
Abby : Je les ai.
Stephen : Sortez par derrière. Liv, il m'a vu, ça veut dire que tu as 10 minutes.
Olivia : Harrison, on va avoir de la visite !
Quinn : Je sais que je suis nouvelle. Mais ça m'aiderait de savoir ce qui se passe.
Olivia : Combien de temps ?
Quinn : Que je travaille ici ?
Harrison : 11 minutes. Il ne viendra peut-être pas.
Olivia : Il va venir. Patience.
Quinn : On attend qui ?
David Rosen : Tu sais ce que j'aime dans mon travail ? Je suis le gentil. La loi est de mon côté. Je suis la loi. La loi, c'est moi. Je travaille pour la justice, je fais respecter la Constitution, je suis un chevalier du peuple, je porte l'armure. Et toi ? Olivia Carolyn Pope, tu es une enquiquineuse. J'avais un mandat pour fouiller cette maison. Mais en arrivant, il ne restait rien. Tes gens ont tout raflé.
Olivia : Bonjour, David, ravie de te voir. Jolie coiffure.
David : Où est-elle, Olivia ?
Olivia : Quoi donc ?
David : La liste, Olivia. Je parle de la liste. Et tout ce qui est une preuve des activités illégales de cette femme, là-bas.
Olivia : Je n'ai pas de liste. Comme personne ici.
David : Je peux l'arrêter. J'ai ce qu'il faut pour l'arrêter, là, maintenant.
Olivia : Tu pourrais. Mais comme tu défends la Constitution, il te faudrait un mandat d'arrêt, non ? Tu en as un ? Mon armure est plus grosse que la tienne.
David : Tu peux au moins prétendre de ne pas aimer ça ?
Quinn : Harrison, qui est cette femme dans la salle de conférence ?
Olivia : Vous avez tout ?
Stephen : Oui.
- Les albums photo ?
Abby : Tous.
Stephen : Je vous ai dit qu'on s'en occuperait.
-Je suis Quinn.
-Sharon Marquette. Ravie de vous connaître.
Qunn : Besoin de quelque chose ? Du thé ?
Sharon : C'est très gentil. Stevie, vous ne m'aviez pas dit travailler avec tant de gentilles filles.
Quinn : Vous connaissez Stephen ?
Stephen : On est de vieux amis.
Abby : Joliment dit. "Amis."
Olivia : Abby.
Abby : Désolée. Sans vouloir vous offenser
Sharon : Il n'y a pas de mal.
Quinn : Pardon, je suis nouvelle. Quel est le lien entre vous ?
Olivia : Quinn.
Abby : Elle lui fournissait des prostituées.
Sharon : Je tiens la meilleure maison close de Washington.
Maison Blanche
Fitz : Ils sont prêts ?
Cyrus : Bientôt. M. le Président ?
Fitz : Grand jour, Cyrus. Grand jour pour le peuple américain.
Cyrus : On doit en parler.
Fitz : Je nomme quelqu'un à la Cour Suprême aujourd'hui. Un des meilleurs spécialistes constitutionnels du pays. Il va changer le visage du droit américain. Vous saviez que Keating avait un doctorat ? Sa thèse portait sur la nature des révolutions. Les révolutions, Cyrus.
Cyrus : Et il aime les soleils couchants et les promenades. Il est parfait. C'est un grand jour, mais parlons d'Olivia.
Fitz : Une autre fois.
Cyrus : Maintenant.
Fitz : Vous avez mal interprété ce que vous avez vu.
Cyrus : Je n'ai rien mal interprété. Je n'ai pas subi la rage d'une maîtresse depuis un temps, mais je sais comment c'est. Vous avez une liaison avec Olivia Pope.
Fitz : Je n'ai pas...
Cyrus : Avez, aviez, ne jouez pas sur les mots. Il y a eu quelque chose entre vous et Olivia, comme entre vous et Amanda Tanner. Je dois connaître l'étendue des dégâts.
Fitz : On ne parlera pas de ça.
Cyrus : Olivia la représente. Amanda Tanner. Elle est maintenant cliente d'Olivia Pope. Je suis avec vous. Vous comprenez ? Je suis avec vous.
Fitz : Cy, c'est un grand jour pour le peuple américain. Ne le gâchez pas.
Cabinet D’Olivia
Abby : Sharon Marquette. L'adresse incontournable pour des prostituées de luxe. Hier, une de ses nouvelles filles, Ginger Bell, sans rire, c'est son vrai nom, comme si ses parents lui en voulaient, ils savaient qu'elle serait prostituée. Ginger Bell a été arrêtée dans le hall du Hay Adams. Voilà sa photo. Jolie fille. Tu as déjà couché avec, Stevie ?
Olivia : Abby.
Abby : On continue. Ginger Bell a joué les balances dès qu'ils l'ont enfermée.
Sharon : Je n'en veux pas à Ginger. C'était son premier soir. Le premier soir est toujours le plus difficile. C'est le soir où elle découvre si elle est capable de ça. Elle doit se maquiller et sortir, aller s'asseoir au bar ou dans le hall, là où le client l'a décidé, puis elle doit le regarder dans les yeux et savoir qu'ils sont tous deux d'accord que son corps vaut un certain montant. Bien sûr, c'est un gros montant. Mais ça reste une transaction. Puis elle doit revenir me montrer ce qu'elle a gagné pour que je sache si elle peut travailler le soir suivant.
Huck : Je viens de fouiller son ordinateur, il n'y a rien. Pas de noms, de dates, de déclarations de revenus.
Olivia : David dit qu'il y a une liste de clients. Si oui, il nous la faut. Pas pour s'en servir, pour savoir qui est dessus. On ne peut rien faire pour Sharon sans informations, et ça commence avec cette liste.
Huck : Il n'y avait aucune trace, rien n'était crypté.
Quinn : Quelqu'un comme Sharon garderait des traces ?
Sharon : Voilà Mason, et là, c'est Aiden, déguisé en grenouille. Ne sont-ils pas adorables ? Ma fille dit qu'ils sont très bons à l'école.
Harrison : Je suis sûr que vos petits-enfants sont super, mais... Pardon.
Sharon : Non, vous avez raison. J'aime m'en vanter. Ce qui vous intéresse est ici. Ça remonte jusqu'en 1986.
Olivia : Le prénom des filles, une date, un montant et un numéro.
Harrison : Pas de clients ?
Stephen : 10 chiffres. Un numéro de téléphone ?
Huck : Vous êtes douée.
Sharon : J'essaie.
Huck : Cherchez les numéros dans une base de données publique, et ça vaut autant qu'un nom, voire plus. J'entre le numéro, et j'ai tous les clients de Sharon. Leur nom, photo, adresse, leur poids, s'ils sont donneurs d'organes.
***
Olivia : Amanda Tanner. Je veux que tu ailles la voir à l'hôpital.
Quinn : Je peux aider sur cette affaire. Je suis nouvelle et peut-être pas prête, mais je veux être utile.
Olivia : Tu es utile, en te renseignant sur Amanda.
Quinn : Vous avez dit vous-même qu'elle mentait à propos du Président. Et c'est fini. Elle ne parlera à personne. Vous l'avez arrêtée. Pourquoi est-elle si importante ? Je dis juste que je suis aussi avocate, je peux gérer autre chose que le café et Amanda.
Olivia : Ne pose pas de questions, vas-y. (en voyant les photos de tous les clients) Voilà pourquoi je ne vois personne.
Harrisson : Et pourquoi les politiciens n'ont pas ma confiance.
Stephen : On a tout le gratin de Washington.
Olivia : Pas étonnant que le procureur veuille cette liste. Et merde !
Stephen : Liv ?
Olivia : Je dois y aller.
Harrison : Qui est Patrick Keating ?
Stephen : Pour l'instant, personne. Mais dans 10 minutes, il sera le candidat à la Cour Suprême du Président.
Entrée de la Maison Blanche
Olivia : Non, écoute. Ça prendra au moins deux heures pour que David ait ce mandat d'arrêt. Ne donne la liste sous aucun prétexte. Bien. Je reviens dès que je peux. Bonjour, Morris.
Morris : Pardon, Mme Pope, vous n'êtes pas autorisée.
Olivia : Quand ai-je déjà été refusée ?
Morris : Jamais. Jusqu'à aujourd'hui.Je vais voir ce que je peux... Je dois voir votre badge.
Olivia : On me refuse ? Morris, vous me connaissez.
Morris : Désolé. Vous pourriez entrer avec un rendez-vous. Mais vous...
- Un problème ? Parce qu'elle est douée pour les faire disparaître.
Morris : Mme Pope n'est pas sur la liste.
- Pourquoi ?
Morris : Aucune idée.
Olivia : Je peux entrer ? Je dois parler à Cyrus.
-Elle est avec moi. Je me porte garant.
Morris : Désolé, mais sans rendez-vous, elle ne peut pas entrer.
- Quel est votre numéro ?
Morris : 3838. Pourquoi ?
-Un instant. Bon. Décrochez.
Morris : Allô ?
-Salut, Billy Chambers, chef de cabinet du Vice-Président. Il me faut un laissez-passer pour Olivia Pope. Merci, Morris.
Olivia : Merci. Merci.
Chambers : Quoi de neuf ?
Olivia : Tu voudras entendre ça…
A l’Hôpital
-Vous ne détestez pas les hôpitaux ?
Quinn : Si. Un peu.
- C'est votre sœur ?
Quinn : Une amie.
- Gideon Wallace.
- Quinn Perkins.
Gideon : Votre amie va s'en sortir ?
Quinn : Oui, je crois.
Gideon : C'est bien. Tant mieux. Elle a voulu se suicider ? Je suis passé ici avant. J'ai vu ses poignets bandés. Elle s'appelle Amanda, non ? Elle a déjà fait ça ?
Quinn : Gideon ? Pour quel média travaillez-vous ?
Gideon : The D. C. Sun. Et vous travaillez pour qui ?
Quinn : Pour personne. Et je ne vous parlerai pas. Amanda non plus, car elle est inconsciente. Sous sédatifs depuis un jour et demi, elle ne peut pas parler, surtout pas à un reporter. Vous devriez partir.
Maison Blanche
Bureau de Cyrus
Cyrus : C'était notre homme. Vous l'avez choisi. Vous adorez ce gars. Le Président l'adore. C'est le Clarence Darrow du 21e siècle. Quand il n'écrit pas pour le dixième circuit, il rassemble le bétail à son ranch du Wyoming. Il est parfait. Comment je le sais ? On l'a examiné sans rien trouver. C'est un saint. C'est pourquoi le Président l'a nommé à la tête de la plus haute Cour du pays.
Olivia : Ce que j'aurais empêché si j'avais encore mon accès.Tu sais pourquoi
Cyrus : je t'ai coupé l'accès.
Olivia : Il est sur la liste, Cyrus.
Cyrus : Comment as-tu manqué ça ?
Billy : Je n'ai rien manqué. Keating est un ange.
Olivia : Voyons. Toi et le Vice-Président devriez être ravis, Keating est trop à gauche pour les républicains.
Billy : Personnellement, il n'est pas mon choix. Mais je joue en équipe, Liv. Comme le Vice-Président. Le patron veut placer un type, on le fait.
Olivia : Vous ne pouvez pas placer Keating. Il y a 23 ans, Keating a couché avec une prostituée. Plus d'une fois !
Billy : Ça ira ! Ça ira peut-être. L'audience de confirmation est dans 2 semaines. Quatre, au plus. Ça ne sortira peut-être pas.
Olivia : C'est un petit secret. Ils finissent toujours par sortir. N'est-ce pas, Cyrus ?
Cyrus : Billy, laisse-nous.
Olivia : Non, pas besoin. Je m'en vais. Mais trouvez-vous un candidat de secours.
Billy : Vous n'êtes plus dans le même camp ? Liv est des nôtres.
Cyrus : Arrange l'affaire Keating. Tout de suite !
-Mme Pope ? Le Président voudrait vous parler.
Olivia : Dites-lui que je suis occupée.
Cabinet D’Olivia
Abby : Je n'en comprends pas la moitié. C'est un code ? Que veut dire "parquet" ? Stephen ?
Stephen : Pourquoi je le saurais ?
Abby : Tu fréquentes des prostituées.
Stephen : Je ne fréquente... Bon, tu veux savoir ? Ça veut dire qu'elles sont épilées. Pour aller avec les cheveux.
Abby : Et "journée ensoleillée" ?
Stephen : S'il y a du soleil, pas besoin de protection.
Abby : Et toutes ces langues qu'elles parlent, ce sont des codes ?
Stephen : Oui. Ce sont des codes.
Abby : Donc aucune de ces filles ne parle vraiment grec.
Olivia : Où en est-on ?
Huck : On a presque fini la liste des noms.
Olivia : Des nouvelles du procureur ?
Stephen : Rien. Il n'a peut-être pas pu avoir de mandat.
-Police. Ouvrez.
Olivia : Il a eu un mandat.
David : Où est-elle ?
Olivia : Voyons, David. Tu veux Sharon Marquette pour la publicité et ton nom dans les journaux. Et peut-être devenir procureur général quand un démocrate sera au pouvoir.
David : Je la veux car c'est une criminelle. Tu tiens vraiment à défendre les prostituées maintenant ? Amène-la-moi ou je viens la chercher.
Huck : Ne la touchez pas.
Olivia : Harrison ! Descends voir si la presse n'est pas là pour faire une belle photo de David.
Harrison : J'y vais.
David : La maquerelle, Olivia. Maintenant.
Olivia : Abby, va chercher Sharon et Stephen. (au téléphone) Oui ? Tu as un nom ?
Quinn : Gideon. Il s'appelle Gideon Wallace. Il travaille pour The Sun.
Olivia : Un instant. Ne dites rien à personne. Je veux une cellule privée, pas collective. Et propre. Des menottes ? Parce que la gentille grand-mère est si dangereuse. Quinn, reste près d'elle. Tu ne manges et ne dors pas. Ne la quitte pas des yeux. C'est compris ?
Quinn : Oui. C'est compris. Je ne la quitte pas des yeux. Je ne la quitte pas des yeux. Je ne la quitte pas... des yeux. (Amanda n’est plus dans son lit).
Stephen : On vous fera vite sortir.
Sharon : Merci.
Harrison : Aucun journaliste, mais Patrick Keating, sa femme et Billy Chambers arrivent. Olivia ?
Olivia : Je réfléchis… Harrison, mets Patrick Keating dans un bureau loin du tableau. Stephen, sors Sharon de prison. Huck, trouve qui est Gideon Wallace. Abby, avec moi. On met le paquet. Allons-y.
***
Olivia : Non ! Pas question ! J'ai averti Cyrus pour te rendre service. Je ne bosse plus avec vous et Keating n'est pas mon client. Si tu as un problème, tu te débrouilles.
Billy : Liv, c'est moi. Aide-moi. On est des amis du Président.
Olivia : Ne me raconte pas ça.
Billy : Je te le dis, Keating est notre homme, et tu vas le laisser s'écraser ? Allez, tu es la meilleure. Aide-nous. Si je te le demande en tant qu'ami ?
Keating : Billy me dit qu'il y a un problème avec ma nomination, et que vous seule pouvez me l'expliquer.
Abby : Mme Keating, voulez-vous me suivre, prendre un café ?
Keating : C'est ma femme. Elle peut tout entendre. Je n'ai aucun secret.
Olivia : Votre nom se trouve sur une liste des clients de notre client datant des années 1990. D'après ses registres, vous avez vu une prostituée nommée Stacey à plusieurs reprises fin 1991 et début 1992.
Keating : vous m’ avez piégé, Parce que je ne suis pas un fanatique religieux qui néglige la Constitution en faveur de la version de la Bible. qui fait le plus de dégâts ?
-Patrick, calme-toi.
Billy : Je sais que c'est difficile, mais nous sommes unis pour que vous soyez nommé. Toute l'administration. Vous avez ma parole.
Keating : Je veux voir cette liste.
Olivia : La vie privée de mon client n'est pas négociable. Mais la liste est réelle, et elle comprend votre nom.
Keating : C'est un mensonge culotté, voilà ce que c'est. Savez-vous comment je suis arrivé où je suis ? À quoi j'ai renoncé ? Ma vie entière a consisté à m'assoir sur ce banc, à respecter la loi. Je ne ferais jamais...
Olivia : C'est sans doute vrai, mais il faut passer en mode de crise. Je vous conseille de retirer votre candidature en prétextant un souci de santé ou personnel. Dites que vous êtes reconnaissant d'avoir été choisi, mais qu'il vous faut vous retirer. Vous pourriez passer aux infos...
Keating : Non ! Je n'ai rien fait. Je ne mentirai pas. Et je ne retirerai pas ma candidature. Le Président a fait appel à moi, et je ne me détournerai pas de mon devoir envers mon pays.
Mme Keating : Il n'a pas fait ça. J'en suis sûre. S'il n'est pas nommé, ça le tuera. Ne laissez pas ça se produire.
***
Abby : Que dit ton instinct ?
Olivia : Qu'il ne l'a pas fait, et qu'il ne ment pas. S'il dit qu'il n'a jamais vu Stacey, je le crois.
Harrison : Ça remet toute cette liste en question.
Huck : C'est logique. Sharon est intelligente. Elle fait ça depuis longtemps. Au final, cette liste est tout ce qu'elle a.
Harrison : Tu crois qu'elle a inventé certains noms ? Tu lui en voudrais ?
Huck : Moi, pas.
Olivia : Mais je ne veux pas couler la carrière d'un homme sur base d'un mensonge. Retrouvez Stacey. Découvrez si Keating la fréquentait.
Garde à vue de Sharon
Sharon : J'ai passé des après-midi dans de plus beaux endroits, mais ce sont les risques du métier.
Stephen : Je peux vous faire sortir d'ici. Et je peux m'assurer que vous n'y remettiez plus les pieds. Mais je dois leur donner la liste.
Sharon : Non.
Stephen : Le procureur finira par mettre la main dessus, et c'est votre seul avantage.
Sharon : Sans doute. Mais je n'ai pas évité les problèmes pendant 30 ans en étant une balance. Personne ne le sait mieux que vous.
Stephen : Vos clients sont tous adultes. Je suis adulte. J'ai choisi de faire quelque chose d'illégal. Et parfois, il faut assumer ses choix.
Sharon : J'étais la seule mère célibataire de la classe maternelle de ma fille. À 17 ans, quand elle a découvert ce que je faisais vraiment pour gagner ma vie, elle ne m'a plus parlé pendant 10 ans. Il y a 6 mois, elle m'a appelée pour me dire que je pouvais enfin voir mes petits-enfants. Donc assumer ses choix, je connais. Croyez-moi.
Stephen : Voulez-vous que vos petits-enfants vous voient en prison ?
Sharon : Non. Le problème, c'est que la plupart des gens sur cette liste ont aussi des petits-enfants.
Maison Blanche
Bureau Ovale
Fitz : Vous avez bloqué l'accès à Liv ?
Cyrus : Oui. Pour vous protéger.
Fitz : J'ai les services secrets, la garde nationale et des sentinelles armées pour me protéger. Je crois que Liv n'est pas une menace.
Cyrus : Olivia n'est pas le danger, c'est de vous-même qu'il faut vous protéger. Ceci est paru sur le blog du D. C. Sun. Je dois savoir ce qui se passe. Tous les détails. On ne plongera pas parce que vous êtes incapable de garder votre braguette fermée.
Fitz : Vous travaillez pour moi. Pas l'inverse.
Cyrus : Vous travaillez pour le peuple. Je suis le peuple. Vous travaillez pour moi.
Fitz : Juste deux phrases sur une fille dérangée !
Cyrus : Le Watergate est parti de deux phrases sur un cambriolage !
Mellie : Salut, Cy. Prêt à voir le chancelier et sa femme ? Je pense qu'ils nous attendent.
Fitz : On ne fait pas attendre le chancelier.
Curus : Non.
Fitz : Tu es magnifique.
Mellie : Merci bien, monsieur le Président !
Fitz : Mme Hanley ! Où sont mes commentaires ? Je suis censé dire quelque chose en allemand.
Mellie : D'après Billy Chambers, on a un problème avec Keating. C'est sérieux ?
Cyrus : On ne sait pas encore. C'est possible.
Mellie : Vous savez ce que je dis, si c'est sérieux, appelez Olivia.
Cabinet D’Olivia
Harrison : Tu es sûr qu'on cherche une Stacey ? Ma danseuse préférée au Camelot ne s'appelle sûrement pas Cannelle.
Abby : Sharon gardait des talons. Certaines filles n'utilisaient pas un pseudo. Quelqu'un connaît peut-être son nom.
***
Huck : On dirait que tu vas vomir. Pas dans mon bureau.
Quinn : Je faisais quelque chose pour Olivia, et j'ai foiré.
Huck : Si tu foires, tu répares. C'est ton boulot.
Quinn : J'ai perdu quelqu'un. Il faudrait que tu la traques, ou ce que tu fais pour trouver quelqu'un là, maintenant.
Huck : Tu as été chez elle ? Va chez elle.
Olivia : Que fais-tu ici ?
Quinn : Ce n'est pas moi. Je vous ai appelée et en revenant, disparue. Mais je me rends chez elle maintenant. Et je ne la quitterai pas des yeux.
Olivia : On y va ensemble. Pour que je règle ça.
Stephen : Sharon ne veut pas donner la liste.
Olivia : Bien.
Stephen : On a un client en prison qui ne veut pas qu'on la sorte de là. Qu'y a-t-il de bien ?
Olivia : La liste sort et Keating est foutu.
Stephen : Keating et la Maison Blanche ne sont pas nos clients. Tu ne dois plus régler leurs soucis.
Olivia : Je ne veux pas détruire une réputation en me basant sur un mensonge.
Stephen : Moi non plus, mais on a choisi notre camp. Et notre camp est en prison !
David : Génial pas besoin de cavaler ! Olivia Pope, s'il vous plaît. La citation à comparaître pour la liste de Sharon. Tu as deux heures pour la fournir. On se voit au tribunal. Tu descends ?
Dans un Parc
Harrison : À ton tour.
Abby : Pitié.
Harrison : J'ai fait la précédente. Qui eût cru que les ex-prostituées n'aiment pas en parler.
Abby : Tu ne paierais pas pour coucher, si ? Si ?
Harrison : Tout le monde paie pour coucher. Du moins jusqu'à être dans une relation. Inviter au resto, payer des verres.
Abby : Ce n'est pas par bon cœur. Pourquoi les hommes font ça ?
Harrison : Honnêtement ? Pour ne pas avoir ce genre de conversation. C'est ton tour.
Abby : Inez Parks ? Avez-vous travaillé pour Sharon Marquette ? En 1991 ? Ce n'est pas vous qu'on cherche, mais une femme nommée Stacey. vous travailliez pour Sharon au même moment.
Inez : Emmène tes frères jouer avec Jane et Andy. Allez. Maman arrive tout de suite. Que voulez-vous savoir ?
Appartement D’Amanda
Olivia : Je parlerai. Reste à côté. Ne fais rien.
Quinn : Je pourrais bien faire mon travail si je savais ce qui se passe.
Amanda : Vous savez ce que vous m'avez fait l'autre jour ? Vous m'avez donné envie de mourir. Vraiment mourir. Je me suis ouvert les veines. Maintenant, vous êtes sur mon pallier probablement parce que vous savez que je disais la vérité sur le Président. C'est pour ça que vous êtes là. C'est la seule raison.
Olivia : Amanda...
Amanda : Dites-le.
Olivia : Vous ne...
Amanda : Dites-le.
Olivia : Vous disiez la vérité sur le Président.
Amanda : Merci. Maintenant partez. Et laissez-moi tranquille.
Olivia : Vous voulez rester seule ? Un bloggeur a écrit des choses sur vous aujourd'hui. Quelques lignes. Rien de grave. Mais quelqu'un voudra en savoir plus et voudra vous poser des questions. Savez-vous ce que vous répondrez ? Précisément ? À chaque question ? Chaque fois qu'on vous appellera ? Si ce n'est pas le cas, plus de questions et plus de reporters viendront. Vous direz ou ferez ce qu'il ne faut pas. Vous serez nerveuse, contrariée et vous direz quelque chose qui lâchera la meute. Et ce qui a commencé en quelques lignes que personne n'a lues deviendra un scandale pour tabloïdes. Et les tabloïdes s'en donneront à cœur joie quand les chaînes utiliseront l'histoire. Et ça arrivera. Car cette histoire a une odeur. Elle sent le papier vendu, l'audimat. Votre visage fera la couverture de tous les journaux du monde entier. Et personne ne vous laissera alors tranquille. Vous ne serez plus jamais tranquille. Je vous ai donné envie de mourir. J'en suis désolée. Je n'en suis pas fière. Mais maintenant, je voudrais vous aider. Je peux vous aider, si vous me laissez.
Amanda : Laissez-moi tranquille.
Olivia : Écris ton numéro là-dessus et glisse-le sous la porte. Dans quelques heures, elle t'appellera et tu devras la convaincre qu'on puisse la représenter.
Quinn : Comment savez-vous qu'elle appellera ?
Olivia : Parce que je suis douée dans ce que je fais.
Cabinet D’Olivia
Olivia : Tu as trouvé Stacey ?
Harrison : Non. Mais quelqu'un qui la connaissait. En 1991, elle aurait prévu d'aller vivre à l'ouest avec son copain. Montana, Wyoming, un de ceux-là.
Stephen : Je vais au tribunal. Zuckerman croira à la pêche aux infos ?
Abby : Pour annuler la citation à comparaître ?
Olivia : Peut-être. Zuckerman est vieux jeu. On n'a que ça. Cette liste ne peut pas être divulguée. Prends Harrison. Il a du charme.
Abby : Ça devrait m'être égal.
Olivia : Ça devrait.
Abby : Ça ne te dérange pas qu'il voie des prostituées ?
Olivia : On a tous nos secrets, Abby. Ils sont souvent moches. Dans ce travail, je ne juge pas. Et toi non plus.
Abby : Mais pourquoi un tel homme, attirant, bien habillé, avec un bon travail, des cheveux ondulés et une fiancée qui l'aime, pourquoi un tel homme...
Olivia : Il s'appelle Stephen.
Abby : Pourquoi Stephen paie pour coucher ? Je sais, ça ne devrait pas m'atteindre. Je ne suis pas sa femme.
Olivia : Non, tu n'es...
Abby : Liv ?
Maison Blanche
Olivia : Une douzaine de petits gâteaux. Extra glaçage, comme vous aimez.
Morris : Vous savez bien que ça ne fonctionne pas. Je suis armé, je pourrais vous abattre. Mais Mme Hanley m'a appelé.
Olivia : La secrétaire du Président ? Le Président vous aurait remise sur la liste.Merci.
Morris : À quel genre de gâteaux a-t-il eu droit ?
***
Olivia : Stacey ? Vous n'avez pas bronché en apprenant que votre mari voyait une prostituée, car c'était vous. Patrick a fait le droit et vous êtes allés au Wyoming, son rêve est devenu le vôtre et vous y avez consacré votre vie. Vous êtes Stacey, la raison pour laquelle il est sur la liste.
Stacey : C'était mon premier soir. J'avais si peur. J'attendais mon client au bar, il était tard, j'avais peur qu'il ne vienne pas. Les filles me disaient qu'il n'y avait pas d'excuses avec Sharon Marquette. Qu'il fallait revenir avec l'argent ou c'était fini. Et c'était la meilleure. Ses filles avaient la classe. Des call-girls. Pas des prostituées. Donc je me suis assise au bar et j'ai attendu et attendu. Puis Patrick est venu vers moi. Il voyait qu'on m'avait posé un lapin et que j'étais contrariée, il s'est donc assis et m'a fait rire. Je n'ai jamais autant ri avec quelqu'un. Il ne savait pas. Et je ne voulais pas lui dire. Je l'aimais bien. J'ai commencé à le fréquenter. Je disais à Sharon qu'il était client, mais je payais chaque rendez-vous. On n'a même pas couché ensemble avant notre lune de miel.
Olivia : Et vous ne lui avez jamais dit.
Stacey : Il ne comprendrait jamais. On avait besoin d'argent, et il passait ses nuits à étudier en bibliothèque de droit. Je lui ai dit que j'avais un second travail, la nuit. C'est ce que je me racontais. Je travaillais la nuit. On a payé l'université grâce à ça. Il en est arrivé là grâce à ça. J'aime cet homme. Je ne peux pas lui dire que sa vie est un mensonge. Mon Dieu.
Olivia : Vous avez une bonne vie avec un homme qui vous rend heureuse, aucun mensonge ne peut contrer ça, mais vous devez lui dire. S'il l'apprend par quelqu'un d'autre que vous, il aura le cœur brisé.
Tribunal
Stephen : Cette citation à comparaître est une pêche aux infos. Pure et simple. Une tentative pour traîner les centaines de clients légaux de Sharon Marquette dans la boue.
David : Cite une seule affaire de prostitution où prétendre la pêche aux infos a déjà fonctionné. Une seule.
Harrison : Williams contre la Pennsylvanie, 2007. Ou Davis contre la Floride est plus pour vous ? C'était en 1998. Je peux continuer, votre Honneur.
Juge : Avocats, approchez, s'il vous plaît. Savez-vous que vous êtes des adultes et qu'en tant que tels, me faire perdre mon temps n'est pas de votre niveau, encore moins un concours de virilité ?
David : Oui, votre Honneur.
Juge : Merci pour les détails. M. Finch et M. Wright, livrez-moi cette liste demain midi. Et M. Rosen, la caution de cette dame touche un chiffre qui ruinerait Donald Trump réduisez-là. Occupons-nous tous de rendre le monde meilleur. Merci, messieurs.
Harrison : On fait quoi maintenant ?
Stephen : On trouve le meilleur avocat pour Sharon.
Maison Blanche
Fiitz : quand comptais-tu me l'apprendre ? C'est le parfait juriste. Méthodique, analytique, non-partisan. Sa vie est régie par la loi. Tu as bien choisi. Mais c'est toujours le cas.
Olivia : Il aurait fait un bon juge de la Cour Suprême. Je n'ai rien pu y faire. Ça devait sortir.
Fitz : Je devrai trouver un autre candidat. Des idées ?
Olivia : Je ne travaille plus pour vous.
Fitz : Ils s'en remettront ?
Olivia : Je ne vois pas comment.
Fitz : Je pense que ces deux-là veulent être ensemble. Je pense que l'amour, en fin de compte, est plus fort que quelques erreurs, quelque chose qu'on regrette. Je pense que l'amour autorise le pardon. Pas toi ?
Olivia : Je dois y aller.
Fitz : Liv.
Olivia : C'est terminé. Tout le monde a perdu. Oubliez.
Fitz : Liv, je t’en prie.
Olivia : Que croies-tu qu'il reste à dire ?
Fitz : Tout.
Olivia : Ou rien.
Cabinet D’Olivia
Stephen : Je me rends au bureau du procureur avec la liste. Hé, parfois on échoue. Vois-le comme ça. La liste est divulguée et chacun sur la liste est un client potentiel.
Olivia : Oui. Il y a beaucoup de pouvoir sur ce mur… Harrison !!!!
Harrison va voir tous les clients de la liste
Harrison : Journée ensoleillée. Du parquet ! Un voyage aux îles ? Vous parlez grec ?
Cabinet D’Olivia
Olivia : Messieurs, merci d'être venus. Je sais que vous n'êtes pas unis sur le plan des idées, mais vous avez tous un faible pour les prostituées. Et vous avez une chose en commun, les services de ma cliente, Sharon Marquette. Et bien que vos passe-temps nous importent peu, ce n'est pas le cas de vos électeurs. Je pense qu'on est tous d'accord que la tenancière de ce petit commerce ne soit pas harcelée outre mesure par la loi. N'est-ce pas ?
-Madame, je ne sais pas de quoi vous parlez, mais je dois me rendre à un dîner, excusez-moi.
Sharon : Oh, Charlie. Elle parle de vos voyages autour du monde. Deux fois par soir, si vous prenez vos pilules.
Olivia : Je suis contente qu'on soit d'accord. Il me faudra juste autre chose…
A la télé
Je me retourne vers Juge Keating sur base d'une simple revue de la situation, je suis convaincu que c'est l'homme qu'il nous faut.
Dans un bar
David : Dis-moi qui était sur la liste.
Olivia : Tu sais que je ne peux pas.
David : Je pourrais deviner, vu le nombre d'appels que mon patron a reçus avant qu'il ne me dise d'oublier l'affaire.
Olivia : David, tu as eu ce que tu voulais. Tout le monde gagne.
Elle quitte la profession et liquide ses biens pour acheter une maison en Floride avec des lits pour ses petits-enfants. La morale de la circonscription n'est plus entachée.
David : C'est vrai.
Olivia : À moins que tu t'en fiches, et que tu ce que tu voulais, c'était te faire voir pour être connu.
David : Tu réalises que c'est pour ça qu'on ne peut pas être amis.
Maison Blanche
Fitz : Encore sauvés par Olivia Pope. Comme toujours. Savez-vous que la patte gauche tient 13 flèches qui représentent les 13 États ? Il y a 13 tout, 13 nuages, 13 feuilles sur la branche d'olivier. Olivia nous a aidés. Elle n'est pas contre nous. Vraiment ? Vous ne me parlez plus ? Le leader du monde libre marche sur le sceau présidentiel dans le bureau ovale, légèrement ivre. Je pense que ça mérite une leçon ou quelques mots de Sa Majesté Cyrus Beene, mon roi.
Cyrus : Que voulez-vous que je dise ? Vous ne me dites rien. Vous n'avez pas confiance en moi. Restez donc là sur votre sceau et faites la fête.
Fitz : Je sais que je ne peux pas faire ce que font les autres. Toute ma vie sans reproche. Je sais que je ne suis pas John Edwards. Porte la couronne. C'est bon. C'est le prix. Mais Liv est l'amour de ma vie. Et elle ne veut pas me parler. Vous détestez le Scotch.
Cyrus : Oui. Mais pas ce soir. Pas avec vous. On n'en parlera pas demain.
Fitz : Vous êtes de mon côté.
Cyrus : Je le suis, M. le Président.
Fitz : Vous pensez que Reagan a fait ça ?Ou Roosevelt ? C'est arrivé à Nixon et Clinton. Mais Carter et Truman ?
Sur les marches du Lincoln Memorium
Amanda : Désolée de vous avoir appelée si tard. Je ne sais pas, j'ai eu peur que quelqu'un surveille ma maison. Ça paraît dingue.
Quinn : C'est bon.
Amanda : Un reporter a demandé à mes parents pourquoi j'ai voulu mourir, ils étaient à table. C'est en train de se produire, non ?
Quinn : J'ai eu des ennuis une fois, des tas de gens voulaient... J'avais des ennuis. J'étais seule et c'était horrible. Si j'avais eu quelqu'un qui sache ce que je devrais dire, ce que je devrais faire, j'aurais tout donné pour l'avoir à mes côtés. Et Olivia Pope, elle porte l'armure.
Au Cabinet D’Olivia
Amanda : Je suis là, d'accord ? Mais on suit mes conditions.
Olivia : Vous ne le regretterez pas. Promis.
-Bonjour ?
Olivia : Bonjour.
Quinn : Que faites-vous ici ?
Olivia : Qui est-ce ?
Quinn : Le reporter de l'hôpital, Gideon.
Olivia : Que faites-vous là ?
Gideon : Il faut une déclaration pour mon article.
Olivia : Votre article ? Vous n'en avez pas. Vous n'avez rien. Rentrez chez vous.
Gideon : Non.
Olivia : Pardon ? Gideon : Elle a voulu se tuer le lendemain de sa démission de la Maison Blanche, elle a menti sur son employeur, et les voilà toutes les deux avec vous. Je suis peut-être un vulgaire reporter, mais vous êtes Olivia Pope. Donc, non. Je n'avais pas d'article. Mais là... J'en ai un…